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AGRISTAT Actuel

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Agristat « Actuel » 06-21 : Transport et origine des importations agricoles suisses

12.07.21 | Une nette majorité des importations agricoles entrent en Suisse par la route et proviennent surtout de l’UE. L’Amérique du Sud, l’Afrique et l’Asie (sans la Chine) représentent d’autres régions d’origine importantes. Ce sont avant tout des fruits, du café, du thé et des épices, ainsi que des céréales qui arrivent de ces régions. L’acheminement de ces produits s’effectue, entre autres, par train et par navire. L’avion est rarement privilégié et ne transporte que 0,2 % des importations totales. Chaque mode de transport présente ses atouts : l’avion, par exemple, se prête surtout au transport de marchandises légères ou de petites quantités pour lesquelles le prix au kilo est élevé. Ce sont avant tout des légumes, de la viande de mouton et du poisson, ainsi que des fruits exotiques qui sont importés par voie aérienne. Les tourteaux, le riz, les céréales et le café arrivent, quant à eux, principalement par navire.

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Agristat « Actuel » 05-21 : La population moyenne présente : une statistique d’Agristat

10.06.21 | La population moyenne présente est une statistique d’Agristat portant sur le nombre de personnes qui se nourrissent en Suisse au cours d’une année civile. Elle prend en compte les frontaliers, les touristes et les titulaires d’une autorisation de séjour de courte durée relevant de l’asile, permettant ainsi un calcul précis de la consommation alimentaire par habitant. Même si la population moyenne présente n’est pas très différente de la population résidante permanente, elle peut néanmoins avoir une influence décisive sur la consommation par habitant. En témoigne d’ailleurs le calcul de la consommation de viande de volaille par habitant, qui ne montre pas une tendance à l’augmentation mais à la stagnation lorsqu’il est effectué sur la base de la population moyenne présente.

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Agristat « Actuel » 04-21 : Bilan fourrager 2019 (Kopie 1)

10.05.21 | En 2019, les aliments fourragers disponibles ont diminué de 1,7 % par rapport à l’année précédente, se plaçant à 7 784 000 tonnes de matière sèche. Les 1 858 000 tonnes d’aliments concentrés disponibles lors de l’année sous revue représentent la majeure partie des fourrages commercialisables. Les produits non commercialisables sont surtout constitués de fourrages de base, dont la quasi-totalité est destinée à l’alimentation du bétail consommant du fourrage grossier. En 2019, pas moins de 5 927 000 tonnes d’aliments pour animaux, soit 76,1 % de la consommation totale, appartenaient à cette catégorie. Cette même année, la part de la production intérieure a quelque peu augmenté, fournissant 84,3 % du fourrage disponible total. L’approvisionnement en sous-produits issus de la culture des champs s’est révélé plus élevé que l’année d’avant. En outre, les fourrages grossiers et le maïs d’ensilage ont également donné de bonnes récoltes.

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Agristat « Actuel » 03-21 : Production et consommation de lait et de produits laitiers en 2020

12.04.21 | La crise du coronavirus a eu des répercussions bien visibles sur le secteur laitier en 2020. La hausse de la production et de la consommation de lait UHT demi-écrémé et de fromage saute aux yeux. En revanche, la production et la consommation de beurre et de conserves de lait ont diminué. Ces changements peuvent s’expliquer par l’arrêt du tourisme d’achat, la croissance de la population présente, la fermeture intermittente de la restauration, ainsi que des comportements alimentaires et culinaires différents à la maison.

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Agristat « Actuel » 02-21 : Production indigène, importations et utilisation des aliments pour animaux

10.03.21 | La plupart des aliments pour animaux importés proviennent d’Europe et principalement de l’UE. Les aliments riches en matière azotée comme le soja et le gluten, qui proviennent davantage de pays hors d’Europe, font exception à la règle. Ce sont surtout les aliments riches en protéines que l’agriculture suisse doit faire venir de l’étranger. En 2018, 46 % de la matière azotée importée dans les aliments concentrés provenait du soja et des produits à base de soja. Les importations d’aliments concentrés étaient destinées à 40 % aux bovins, les porcs et les volailles arrivant en deuxième et troisième position. En grandeurs relatives, la volaille dépend davantage des importations d’aliments concentrés, car des ingrédients importants de son alimentation, tels que le blé et les produits à base de soja, sont rares en Suisse.

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Agristat « Actuel » 01-21 : Marché du bétail de boucherie

12.02.21 | Pour les producteurs de bétail de boucherie, l’évolution favorable des prix a fait de 2020 une année faste. Si les perspectives pour le gros bétail et les agneaux de boucherie restent bonnes, l’engraissement des porcs et des veaux connaît pour l’heure une mauvaise passe. La production de viande de volaille a enregistré la plus forte croissance de 2020. Dans ce domaine aussi, les perspectives pour 2021 s’annoncent favorables.Pour les producteurs de bétail de boucherie, l’évolution favorable des prix a fait de 2020 une année faste. Si les perspectives pour le gros bétail et les agneaux de boucherie restent bonnes, l’engraissement des porcs et des veaux connaît pour l’heure une mauvaise passe. La production de viande de volaille a enregistré la plus forte croissance de 2020. Dans ce domaine aussi, les perspectives pour 2021 s’annoncent favorables.

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Agristat « Actuel » 12-20 : L’année agricole 2020 : rétrospective et perspectives

11.01.21 | Une année 2020 faste - Les problèmes ne sont pas tous résolus - Les consommateurs changent leur menu - La part du bio progresse - La production indigène en baisse par rapport à la consommation - Consommateurs et contribuables comme clients

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Agristat « Actuel » 11-20 : Bilan alimentaire 2019 (BA)

11.12.20 | Malgré des quantités de production relativement faibles, la consommation alimentaire de 2019 s’est révélée quelque peu supérieure à celle de l’année d’avant. C’est surtout l’augmentation des importations qui a permis de couvrir la demande supplémentaire. Par conséquent, le rapport entre la production indigène et la consommation s’est montré faible (57 %). Chacun d’entre nous consomme moins de nourriture qu’il y a douze ans. Par ailleurs, nous renonçons de plus en plus aux aliments d’origine animale. De plus, la population commence à se détourner des glucides pour privilégier les graisses, principalement végétales.

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