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En direct de l‘USP n°18 (30.04. – 04.05.2018)

Note de la semaine

La commission de l’économie et des redevances du Conseil des Etats a donné un signe encourageant à la branche sucrière indigène. En effet, la majorité a adopté une initiative parlementaire du directeur de l’USP Jacques Bourgeois visant l’introduction d’un prix minimal du sucre et donc des betteraves sucrières grâce à une amélioration de la protection à la frontière. Les conséquences de cette hausse des prix du sucre, et donc d’une meilleure rentabilité de la production indigène de betteraves, seraient très minimes. L’augmentation serait de 0,2 centime par plaque de chocolat, de 0,6 centime par bocal de confiture ou de 0,1 centime par canette de boisson énergétique !


 

Commission permanente « communication »

Les membres de la commission permanente « communication » ont discuté des différentes campagnes marketing de la branche agricole, de leur coordination et des recherches de synergie. Les autres thèmes traités ont été le renouvellement cet été de la campagne de communication de base « Proches de vous. Les paysans suisses. », les travaux actuels et futurs dans le cadre des « Faits sur l’agriculture » ainsi que les initiatives populaires en suspens et la communication qui y est liée.

L’agriculture fascine à la BEA         

L’exposition spéciale « L’agriculture fascine » de la campagne « Proches de vous. Les paysans suisses. » accueille le public au nouveau Centre vert de la BEA du 4 au 13 mai 2018. Sur 120m², les visiteurs peuvent admirer les meilleurs clichés du concours photo Agrimage. L’exposition spéciale propose de découvrir l’agriculture dans plusieurs perspectives et à s’intéresser de plus près aux photos grâce à un concours.

Vidéos sur Facebook

Un pilier important du récent concept pour les réseaux sociaux est la mise en valeur de certaines thématiques. Parmi celles-ci, il y a le fait de vivre « l’année agricole » – entre autre grâce à de petites vidéos diffusées sur Facebook. N’hésitez pas à aller consulter www.facebook.com/bauern.paysans.contadini.

Chiffre de la semaine

Le poids mort du gros bétail a connu une forte augmentation durant les dernières années et correspond toujours moins aux prescriptions des abattoirs. En 2017, 75 % des taureaux âgés de plus d’une année avaient un poids mort supérieur à 290 kg – 12 % présentaient même un poids mort de plus de 330 kg. Pour rappel, des déductions sont effectuées à partir de 290 kg. Faudra-t-il à l’avenir sélectionner des animaux plus légers ou modifier les prescriptions des abattoirs ?